Un terrible dragon ravageait un royaume. Pour s'en débarraser, le roi mit en jeu la main de sa fille au héros qui terrasserait le dragon (rien que du très classique jusque là). Seulement il advint que 2 héros firent sa fête à la grande bête. Le roi, qui n'avait pas très envie de céder la main de sa fille après tout (ça pourrait resservir), en profita pour essayer de berner les 2 héros.
"Puisque vous ne pouvez pas épouser tous les 2 ma fille, je vais mettre au point une petite épreuve pour déterminer quel sera l'heureux élu"
Jusque là tout allait bien, les 2 aventuriers ne s'attendaient pas à autre chose.
"L'épreuve consiste en une course à cheval. Le dernier cheval arrivé sera celui de l'heureux vainqueur."
"Euh... Vous voulez dire le premier, majesté ?"
"Non, non, j'ai bien dit le dernier", répondit le roi avant d'aller ordonner les préparatifs de la course.
Les héros étaient bien embêtés. Ils ne pouvaient pas s'arranger à l'amiable, puisque le prix était indivisible, et tous les deux avaient très envie d'être justement récompensés de leur exploit.
Pourtant ils trouvèrent une astuce, la course eu lieu et il y eu un gagnant et un perdant, ainsi qu'un roi tout déconfit.
Quelle fut cette astuce ?

J'ai dans l'idée que le Roi ayant déclaré "le dernier cheval arrivé", les héros ont du laissé courir leurs montures seules, ou montée par des personnes ignorants totalement l'enjeu et le but de la course.

Ils ont échangé leurs montures tout simplement

Ils ont échangé leurs montures tout simplement

Je m'attaquerais bien à cette énigme, mais il y a 1-2 trucs que je ne cerne pas bien dans ton texte.
Je n'ai pas l'impression que "incolore" fasse parti des couleurs possibles du golem (ne serait-ce que par définition). Donc, faut-il bien en déduire que :
1- la première phrase du golem n'est associée à aucune couleur
2- la couleur accolée à la fin des phrases concerne la phrase suivante
3- lorsque l'archimage s'est retourné, le golem venait de passer au jaune, sans avoir encore parlé dans cette couleur ?

Non, l'incolore n'est pas une de ses couleurs. Simplement, venant d'être créé, le golem n'en a pas encore. Désolé que ça ait porté à confusion .

Mais chaque couleur correspond bien à la phrase qu'elle suit. III concerne sa première phrase, et III sa deuxième. On ne sait donc pas au départ la couleur qu'il a à sa sixième phrase. Note que j'ai pris au hasard celles proposées par le forum, elles n'ont aucune importance en soi.

Bonne chance (il serait temps que l'un de vous la résolve) !

Lavok a écrit :Très bien, dans ce cas je dirais :


J'ai bon ?

En Angleterre, se trouvait un château baptisé Erconwald Mansion. C'était une chambre d'hôte, et bon nombre de têtes inconnues passaient sous ce toit. Mais, une chambre au tout dernier étage était continuellement occupé par un apothicaire. Tous les 365ème jours, il rétribuait grassement la maîtresse de maison, pour le laisser une année de plus dans cette pièce que tout le monde appelait communément : "La Chambre Ecarlate".

Un jour, Athelstan - c'est comme cela que se nommait l'apothicaire - fut renvoyé de Erconwald Mansion sans raison apparente. Un autre que lui aurait opposé force protestations, mais lui a quitté sa "demeure" sans mot dire. Deux semaines plus tard, la maîtresse du château apprit la mort de cet apothicaire. L'hiver était rude, et il était mort de froid dans la rue, comme un malheureux. Depuis ce malheureux incident, personne ne dormit plus dans la "Chambre Ecarlate".

Le soir de Noël, toute la famille de la maîtresse était réunie autour d'un somptueux repas. La discussion en vint à la "Chambre Ecarlate". A la fin du repas, tous les invités désiraient ardemment voir cette chambre. La maîtresse de maison céda, appela des servants avec des torches et des haches, et mena toute la famille au dernier étage. La porte était cadenassée, mais s'ouvrit sous les assauts répétés et violents des haches. C'est alors que l'on comprit pourquoi cette chambre s'appelait la Chambre Ecarlate...

La pièce formait un carré parfait et semblait couvertes de sang de haut en bas. Les murs, le sol et le plafond ansi que tous les meubles étaient d'un rouge vif à vos éblouir. Il y avait une table, un escabeau, une petite fenêtre grillagée sur le mur en face de l aporte et le plus impressionnant, un énorme lit à baldaquins.

C'est alors qu'un des invités mit n doute les dire de la maîtresse, comme quoi toutes personnes qui dormait dans cette pièce mourrait le lendemain avant midi. Il décida alors de dormir dns cette pièce, sans manger ni boire, armé de pied en cap. On fouilla chaque pouce de la pièce pour s'assurer qu'il n'y avit pas de passages secrets. On fit le ménage, on amena des draps propores et on le laissa dans la chambre en lui souhaitant bonne chance.

Le lendemain, le soleil brillait de mille feux. Les invités décidèrent de faire un tour dans le parc. Quand ils revinrent, ils virent le jeune homme téméraire qui les regardait à travers la fenêtre. Ils le saluèrent d'un signe de main et rentrèrent.Ce n'est qu'avant de déjeuner que l'on se rendit compte que le jeune homme n'était pas déscendu. Toute la troupe monta au dernier étage et ouvrit la porte de la "Chambre Ecarlate". Le feu était éteint dans la cheminée, on avat dormi dans le lit, mais le jeune homme se tenait debout devant la fenêtre. Le jeune courageux était mort. Il avait la bouche grande ouverte, les yeux exhorbités, tel que les invités l'avaient vu de dehors. Il essayait d'ouvrir la fenêtre, ses ongles profondément enfoncés dans le bois de la fenêtre. On lisait une terreur pure sur son visage. Un médecin, dans l'assistance, confirma que quelque chose dans cette pièce avait fait mourir de peur ce jeune homme. C'est alors que l'horloge d'Erconwald Mansion sonna les oduze coups de midi...

En Angleterre, se trouvait un château baptisé Erconwald Mansion. C'était une maison d'hôte, et bon nombre de têtes inconnues passaient sous ce toit. Mais, une chambre au tout dernier étage était continuellement occupé par un apothicaire. Tous les 365ème jours, il rétribuait grassement la maîtresse de maison, pour le laisser une année de plus dans cette pièce que tout le monde appelait communément : "La Chambre Ecarlate".

Un jour, Athelstan - c'est comme cela que se nommait l'apothicaire - fut renvoyé de Erconwald Mansion sans raison apparente. Un autre que lui aurait opposé force protestations, mais lui a quitté sa "demeure" sans mot dire. Deux semaines plus tard, la maîtresse du château apprit la mort de cet apothicaire. L'hiver était rude, et il était mort de froid dans la rue, comme un malheureux. Depuis ce malheureux incident, personne ne dormit plus dans la "Chambre Ecarlate".

Le soir de Noël, toute la famille de la maîtresse était réunie autour d'un somptueux repas. La discussion en vint à la "Chambre Ecarlate". A la fin du repas, tous les invités désiraient ardemment voir cette chambre. La maîtresse de maison céda, appela des servants avec des torches et des haches, et mena toute la famille au dernier étage. La porte était cadenassée, mais s'ouvrit sous les assauts répétés et violents des haches. C'est alors que l'on comprit pourquoi cette chambre s'appelait la Chambre Ecarlate...

La pièce formait un carré parfait et semblait couvertes de sang de haut en bas. Les murs, le sol et le plafond ansi que tous les meubles étaient d'un rouge vif à vos éblouir. Il y avait une table, un escabeau, une petite fenêtre grillagée sur le mur en face de l aporte et le plus impressionnant, un énorme lit à baldaquins.

C'est alors qu'un des invités mit n doute les dire de la maîtresse, comme quoi toutes personnes qui dormait dans cette pièce mourrait le lendemain avant midi. Il décida alors de dormir dns cette pièce, sans manger ni boire, armé de pied en cap. On fouilla chaque pouce de la pièce pour s'assurer qu'il n'y avit pas de passages secrets. On fit le ménage, on amena des draps propores et on le laissa dans la chambre en lui souhaitant bonne chance.

Le lendemain, le soleil brillait de mille feux. Les invités décidèrent de faire un tour dans le parc. Quand ils revinrent, ils virent le jeune homme téméraire qui les regardait à travers la fenêtre. Ils le saluèrent d'un signe de main et rentrèrent.Ce n'est qu'avant de déjeuner que l'on se rendit compte que le jeune homme n'était pas déscendu. Toute la troupe monta au dernier étage et ouvrit la porte de la "Chambre Ecarlate". Le feu était éteint dans la cheminée, on avat dormi dans le lit, mais le jeune homme se tenait debout devant la fenêtre. Le jeune courageux était mort. Il avait la bouche grande ouverte, les yeux exhorbités, tel que les invités l'avaient vu de dehors. Il essayait d'ouvrir la fenêtre, ses ongles profondément enfoncés dans le bois de la fenêtre. On lisait une terreur pure sur son visage. Un médecin, dans l'assistance, confirma que quelque chose dans cette pièce avait fait mourir de peur ce jeune homme. C'est alors que l'horloge d'Erconwald Mansion sonna les oduze coups de midi...

- sait on à quelle heure il est vraiment mort? (durant la nuit?)

- Y'aurait-il du poison sur la poignée de la fenetre? (ou un alucinogène, un drogue?)

- Qu'est ce qu'on voit à travers la fenetre?

Depuis ce malheureux incident, personne ne dormit plus dans la "Chambre Ecarlate".

A mon avis il manque une partie de l'histoire entre la mort de l'apothicaire et celle du jeune "courageux". Sinon, pourquoi la porte était-elle cadenassée sans que la famille ait la ou les clés ? Pourquoi la maitresse de maison affirme-t-elle que quiconque dort dans la chambre meurt avant le lendemain midi ? Y a-t-il eu un précédent ?

Y avait-il quelque chose qui empèchait le jeune homme d'ouvrir la fenêtre ?

- L'apothicaire est-il parti parce qu'il avait oublié de renouveler son bail ou pour une autre raison? (une des raisons de l'oubli pourrait être l'ajustement de calendrier en je-ne-sais-plus-quelle-annee qui a fait que l'année faisait moins de 365j, or il renouvelle tous les 365j pour un an)

- Les autres morts avant midi auxquels a fait allusion la maîtresse de maison on t-il eu lieu avant ou après l'épisode de l'apothicaire?

Depuis ce malheureux incident, personne ne dormit plus dans la "Chambre Ecarlate".

Mais cela faisait partie de la seconde partie de l'énime, or la question qui semblait devoir s'imposer (à mon avis) n'a pas été posée... Bref...

C'est peut-être sans importance, mais j'essaie quand même : pourquoi la proprio décide-t-elle tout d'un coup de se débarasser de l'apothicaire ?

Bon... nouvelle question: l'apoticaire est-il parti avec ses affaires ou a t-il laissé des choses dans la chambre? (départ précipité ou a t-il eu le temps de le préparer?)

Je pensais que l'hypothèse du fantôme vous aurait ne serait-ce que traverser l'esprit...

Mais c'est que nous sommes des esprits cartésiens et éclairés nous...

pour quelle raison y-a-t-il un escabeau dans la chambre ? Quelle taille fait-il ? et qu'est-ce que tu entends par "grillagée" en ce qui concerne la fenêtre ? C'est une fenêtre à vitraux ou il y a vraiment un grillage métalligue dessus ?