Où il est question du plus ancien des combats, duquel nul ne peut en sortir indemne.
Le plus ancien des combat, c'est celui pour la survie. L'histoire : Un vaisseau s'écrase sur une planète déserte où de monstrueuses créatures profitent de la nuit pour chasser. D'une dizaine de survivants, il n'en restera que trois, et aucun n'en sortira parfaitement indemne.

Indice 1 : On peut aisément parler d'un affrontement intemporel.
Pour recadrer sur la nature de l'affrontement, car il était aisé de penser à un film de guerre où à un combat particulièrement durable.

Indice 2 : Des décors pour le moins... fantaisistes.
Une planète déserte, au sous-sol néamoins peuplé par des millions de créatures ailées (qui ne supportent pas la lumière et qui survivent Dieu sait comment), en orbite autours de trois étoiles (de mémoire : une supergéante bleue, donc très massive et très brillante, une géante rouge et une étoile de type solaire), derrière une planète géante. On a rarement vu un système planétaire aussi incongru.

Indice 3 : Drôle de moment pour se refaire une beautée.
C'est quand le reste de l'équipage s'attèle à remettre en marche une navette pour fuir la planète que Riddick se rase le crane. Pour se refaire une beautée, dit-il.

Indice 4 : Une forme de rédemption ?
Riddick est un criminel, poursuivi par le policier William Johns, apparament dénué de toute humanité. C'est lui qui va sauver l'imam et Jack (un adolescent de 14 ans) d'une mort certaine.

Indice 5 : Les protagonistes manquent souvent d'inspiration.
Celui-là était tordu, car il y avait un jeu de mot avec inspiration. Les héros se balladent souvent avec une bouteille d'oxygène, l'air de la planète étant difficilement respirable.

Indice 6 : Quand on a perdu la foi, gare à ne pas manquer de flair.
Riddick a totalement perdu la foi, ce qu'il explique à l'imam à plus d'une reprise. En revanche, il ne manque pas de flair. C'est ainsi qu'il découvre la véritable nature de Jack.

Indice 7 : Ce n'est pas un combat du bien contre le mal. C'est un combat pour la survie.
Simplement pour préciser l'énigme.

Indice 8 : Il préfère les bras de Morphée au café.
Johns se drogue à la morphine. A la femme qui s'en étonne il lui répond (en substance) : tu prends de la caféine tous les matins, moi c'est de la morphine.

Indice 9 : On pouvait difficilement tomber à un plus mauvais moment.
Sur cette planète, le jour est éternel, sauf en période d'éclipse (une tous les 22 ans, quand la planète géante passe devant). Manque de chance, il y en a une peu après le crash.

Indice 10 : les apparences sont souvent trompeuses. Ce n'est pas vraiment un héros.
En effet, Johns n'est pas un policier, en dépit de son uniforme. Et il n'a rien d'un héros. De même, le vrai danger ne vient pas de Riddick